Cours d’arabe à l’école : Philippe de Villiers contre Najat Vallaud-Belkacem
24 octobre 2016 12:40, par alpaga et cetera
L’enseignement d’un langue en lycée suppose que le professeur la situe dans un contexte historique et culturel. Il faut que les élèves aient une représentation raisonnable des populations qui la pratiquent au quotidien "naturellement".
De de point de vue l’enseignement de l’arabe en lycée, s’il est assuré par des gens de bonne foi, permet aux élèves qui en bénéficient de prendre un peu de recul par rapport aux monceaux d’âneries que les médias véhiculent sur le sujet.
Je ne parle pas de l’apprentissage en primaire qui lui risque d’aggraver le clivage entre les "de souche" et les "de branche" qui vont, comme c’est parti, rompre avec fracas.