Ceux qui relèvent des instances médicales ne relèvent pas des instances judiciaires.
Les paranoïaques et névrosés du complexe de persécution ne relèvent donc pas des instances judiciaires.
Mais leurs victimes non plus.
Car ils n’appartient pas aux fous de dicter leur loi à la Justice, à moins que la Justice elle-même, atteinte de la folie des fous, ne relève elle-même des instances médicales.
En définitive, il en va de le Pen comme de Soltjenistine ou Sakharof : il faut faire de leur opposition une maladie et de leur maladie un crime pour les faire taire.
Et lorsqu’ils ne s’opposent même pas, faire de leur silence même un délit subversif, crime préféré des totalitarismes : celui de pouvoir éventuellement s’opposer en osant rappeler la vérité.
Quel plus bel hommage du vice à la vertu ?