Alain Soral à Genève : quand un "journaliste" suisse tente de comprendre le "phénomène"
3 novembre 2016 08:37, par niaouliaQuentin Pilet, en lisant votre analyse sur Monsieur Soral qui le définit comme "d’extreme droite", on voit déjà que vous ne maitrisez absolument pas le sujet. Revoyez ce que contient ce ponsif pour comprendre que vous dites des betises qui ne nous donnent plus envie de lire la suite... Dommage !
Quand on a si peu de culture jeune homme, on ne vient pas tenir tete à "un lanceur d’alerte si intuitif "...et qui est suivi par bien plus de gens que vos petits articles vides et qui se rangent politiquement, là ou on leur a dit de se ranger. Monsieur Soral ne marche pas sur un chemin pratiqué par les hiérarchies de pouvoirs, mais sur celui caillouteux d’une sagesse batie tout d’abord sur une vertu fondatrice : LE COURAGE. Qualité que vous n’avez visiblement pas....car il en faut pour nager à contre courant. Cette connaissance il ne la doit qu’à lui meme, il ne la pas acquise en usant des jeans sur les bancs de l’université, dont les professeurs, d’ailleurs ne sont que les produits issus du rabachage des "idoles" engence, plus précisément, d’une reproduction sociale d’esclaves..." une culture d’esclaves et de ses idéaux mortifères"...Non, son travail et sa connaissance ne lui viennent que de son instinct de chercheur de vérité pas d’une culture de péroquet, il flaire le dyonisiaque et se gonfle d’énergie nouvelle...il a plongé dans le lac d’or...il va ressortir sur l’autre rive....attendez le nouvel homme !
Je vous laisserez méditer cette maxime "Pour le sage toutes les choses sont familières et sanctifiées, tous les évènements utiles, tous les jours sacrés, tous les hommes divins" Voyez vous, il ne cherche pas à séparer (comme vous le faite avec des mots surinvestis de mensonges et de ressentiment) Monsieur Soral, unit par la réconciliation et non par le ressentiment, ses forces sont créatrices d’un monde nouveau. En dénonçant il ANNONCE un renversement de sens, il n’a pas la passion de la boue ni de l’état d’esclave, mais il a la passion de l’homme libre ! Sa passion de la vérité aura toujours l’odeur d’un destin, pas d’un savoir ! c’est ce qui le différencie des petits autres parleurs...
Monsieur Soral est comme le fou sur la place avec sa lanterne et il crie...
Oui, "les fous" crient, Monsieur, pour les anes comme vous qui n’ont pas de grandes oreilles, mais pour ceux qui entendent son silence assourdissant c’est une parole sacrée qui vient du dedans, des entrailles, et pour nous, c’est pure poésie !