Jean-Marie Bigard à Yann Barthès : "Si les féministes pouvaient avoir des couilles..."
5 novembre 2016 21:06, par kasiar
« Amorcer une critique de l’aliénation féminine à l’obsession des apparences fait immédiatement surgir dans les esprits le pire cauchemar des essayistes germanopratins : la féministe américaine, char d’assaut monté sur des baskets – pointure 44 – qui exhibe ses poils aux jambes, passe son temps à se couvrir la tête de cendres en dévidant d’une voix caverneuse sa litanie "victimaire" et vous intente un procès pour viol dès que vous la regardez dans les yeux sans son consentement explicite. »
C’est pourtant bien à celà que ressemblent les féministe ...