Alors qu’on le croyait calmé, entre autres par Poutine et les revers qu’il a essuyé cette année, l’insensé Erdogan, tel le chien qui retourne à son vomi, est retourné à sa folie (Proverbes, 26:11).
Je trouve le proverbe très provocateur comme à chaque fois quand l’on parle sur Erdogan. Si Erdogan devrait être un animal, il serait un loup gris.
Dans le texte il manque la version, juste avant qu’Erdogan président de la Turquie parle de détrôner le tyran Bachar ( d’ailleurs c’est pas tellement une surprise) la mort des soldats turcs par l’aviation Syrienne sous l’oeil de Poutine pour deux alliés récents y’a mieux.
Imaginez vous l’inverse = troisième guerre mondiale.
Je pense que Poutine est piégé, dans un sens, il a besoin de la Turquie pour le changement de monnaie, également pour achever les américains, ainsi pour faire rentrer la Turquie à la coopération de Shanghai ( qui je vous le rappel est salué par les cinq membres permanent ) et c’est la Turquie qui présidera le club énergétique 2017. Sinon Poutine doit satisfaire Bachar du mieux qu’il peut car il a des gros intérêts en Syrie, économique stratégique, militaire... faut pas oublier que Poutine laisse une grande surface en Syrie du Nord à Erdogan.
Qui sont totalement les perdants et les gagnant dans cette histoire ?
Je trouve pas injuste un Poutine qui défend les intérêts de la Crimée
Qu’un Erdogan qui défend ses intérêts à sa frontière.