Zéro pesticide, travail collaboratif, permaculture : le pari réussi d’un collectif de vignerons anonymes
12 décembre 2016 17:18, par Greg
Bonjour,
Un article intéressant pour quelqu’un qui travaille la vigne depuis peu comme moi.
Les petites structures associatives, permettant la créativité et demandant du suivi sont idéales pour faire du bon vin, même avec des cépages peu réputés. A ce sujet, notre pays avec l’Italie comptent le plus grand nombre de cépages, plus de 500 en tout je pense. L’aligoté, la Roussane, le Bahco, le Persan, la Clairette ou l’Onchette dans ma région. Autant de variétés à entretenir ou à sauver de la disparition ; certains cépages autochtones, anciens, ne sont même plus au catalogue, c’est-à-dire interdits. Cela vaut pour le reste de l’agriculture, les vergers par exemple.