Une beauté à couper le souffle – L’édito des directeurs de la publication d’E&R
20 décembre 2016 13:32, par nico
La nécessité de fuire : Henri Laborit l’a fort bien expliquée. L’individu emprisonné, n’a pas d’autres issues que la fuite dans l’imaginaire, dans la création pour se préserver. La révolte le conduirait à la répression, la névrose est aussi une fuite, comme le suicide. Le pire serait l’inaction, car l’inhibition est mère de toutes les pathologies. Germain utilise ses lobes frontaux pour créer, avec un certain talent, une échappatoire à sa condition de détenu. Voilà en quoi cette publication me parle.