Un ex-directeur du Mossad confirme : Israël soigne les terroristes d’Al-Qaïda
31 décembre 2016 01:40, par Révolutionnaire khoméinisteTout à fait. Et ce n’est pas la première fois qu’un responsable du régime sioniste valide ce que le citoyen lambda ne peut oser prononcer sans risquer de se voir systématiquement qualifier de "complotiste", d’"antisémite nazi", de porteur d’une "congruence idéologique avec Daesh" par les porte-paroles du pouvoir libéral ; et de tous les noms imaginables, aussi absurdes les uns que les autres, par les sympathisants de l’opposition syrienne, généralement adeptes du wahhabisme.
Déjà l’ancien ambassadeur israelien à Washington, Michael Oren, était très explicite là-dessus. Lorsque l’administration Obama, face à son incapacité de donner suite aux injonctions israeliennes sur la nécessité d’intervenir militairement pour renverser Assad, a commencé à suggérer que Tel Aviv considérait Assad comme un "moindre mal" par rapport aux "djihadistes", Oren a immédiatement réagi avec véhémence et s’est empressé d’insister à plusieurs reprises qu’en réalité, Israel ne craignait pas du tout Daesh, mais bel et bien la présence iranienne en Syrie. Source : http://www.wsj.com/articles/israels...
Voici les propos d’un journaliste favorable à Israel, qui confirme tout cela :
http://www.youtube.com/watch?v=y-zq...
Mais la déclaration la plus choquante et révélatrice sur ce sujet nous provient sans doute d’un think trank israelien, le Centre Béguine-Sadate, qui en automne 2016 recommandait explicitement à la coalition occidentale de ne pas détruire Daesh, et de (continuer à) utiliser l’organisation terroriste contre l’axe de la Résistance Hezbollah-Syrie-Iran.
C’est marqué noir sur blanc, et nous attendons les explications des "experts en complotisme", ainsi que de leurs amis plus ou moins "modérés" de l’opposition syrienne, qui eux sont libres de propager leurs "théories" foireuses à propos d’Assad, du Hezbollah et de l’Iran, fallacieusement présentés comme "alliés secrets des Juifs" (sic !). Où est passé tout ce beau monde, on ne les entend plus. Source :