État d’urgence : vers la "répression des intentions" ?
2 janvier 2017 19:25, par Ok
Le temps vient de lois au titre du non soutient de la réprobation d’actes terroristes...
Pendant ce temps nos pays financent et arment des mercenaires en Syrie et ailleurs... Conclusion : cette affaire doit rester un dossier de professionnels : interdit que des gars perdus des banlieues européennes se prennent à rêver de la possibilité d’un engagement qui serait véritablement islamique.
c’est aussi que ces "purs" seraient moins contrôlables.
ceci explique cela.
ca doit jouir sec dans les centres décisionnels occidebtaux.