Brighelli : le livre de Chevènement contre les saboteurs de l’école
13 janvier 2017 14:24, par Domino"Pour réduire le déficit budgétaire, une réduction très importante des investissements publics ou une diminution des dépenses de fonctionnement ne comportent pas de risque politique. Si l’on diminue les dépenses de fonctionnement, il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de service, quitte à ce que la qualité baisse. On peut réduire, par exemple, les crédits de fonctionnement aux écoles ou aux universités, mais il serait dangereux de restreindre le nombre d’élèves ou d’étudiants. Les familles réagiront violemment a un refus d’inscription de leurs enfants, mais non à une baisse graduelle de la qualité de l’enseignement."
(Christian Morisson, cahier d’économie politique n°13 de l’OCDE)
"Nous continuerons notre travail avec les musées français et les enseignants pour réformer les programmes d’histoire enseignés dans les écoles françaises, pour qu’ils prennent en compte le rôle et les perspectives des minorités dans l’histoire de France."
Extrait d’un rapport du Département d’Etat du 17 novembre 2010, révélé par Wikileaks.
Le drame, c’est qu’à cause de la centralisation excessive de notre système éducatif, les conséquences de ces politiques qui n’ont rien de fortuit, sont encore plus importantes qu’ailleurs.