Brighelli : le livre de Chevènement contre les saboteurs de l’école
13 janvier 2017 15:43, par Castanietzsche
Les programmes du secondaire sont si légers que non seulement l’enseignement supérieur s’adapte en revoyant à la baisse ses exigences, mais aussi les élèves ne savent plus travailler !
Aujourd’hui c’est devenu tabou de se donner du mal, on suit passivement le cours du professeur comme si c’était un documentaire à la télé !
Et ça suffit à avoir de bonnes notes !
En physique, non seulement on ne fait plus d’équations différentielles mais on ne fait plus d’exercices tout court ! Les examens portent sur des questions courtes de restitution de connaissance, en clair avoir survolé le cours la veille suffit à avoir tous les points !
C’est pas avec cette génération sacrifiée qu’on décrochera des médailles Fields !