Brighelli : le livre de Chevènement contre les saboteurs de l’école
14 janvier 2017 05:00, par coyoterevolteLaisse Jean-Pierre, je prends le dossier en main. L’école, c’est de la merde alors qu’avant c’était bien.
On n’a qu’à dresser la liste des salaires de la pédophilie nationale depuis 1968, faire l’état de l’art, l’historique et demander des comptes. Normalement, cela aboutit à la restitution de ces salaires et des avoirs acquis pour emploi fictif et la mise en geôle pour crime contre l’intelligence et entreprise massive d’abrutissement. Recteurs, directeurs d’établissement, les gens des bureaux des académies : cette strate de la pyramide de domination mérite d’être attaquée à la mesure de la force de nuisance qu’elle exerce contre le peuple. Je ne parle ici que d’appliquer la loi. Les profs de base, dans leur énorme majorité, n’ont rien à craindre de la justice, la vraie, celle de la décence commune des gens du peuple. Trois preuves portées au dossier : entretien de peillon sur le détournement de l’instruction à des fins idéologiques, comparaison des savoirs de l’école entre 1967 et 2017 et les multiples interventions de politiques avouant le détournement de l’instruction au bénéfice d’intérêts privés par des déclarations de type "l’école doit fournir au marché les travailleurs dont il a besoin".
Pour les programmes : tu prends ceux d’avant 68 avec le travail d’atelier, cuisine, couture et tu rajoutes l’histoire des sciences et une option ordinateur-langage-internet. Elèves en blouse et profs en costumes. Programmes diffusés sur plusieurs supports : si c’était le cas, les cours payants feraient faillite. Les cours payants démontrent d’ailleurs qu’il y a bien deux savoirs différents et qu’il y a eu détournement-privatisation du meilleur savoir entre 1968 et maintenant.
Moyen d’action : demander les noms des recteurs et que les familles aillent voir dans les académies ceux qui sont les mieux payés. Le chèque de fin de mois est nominatif et à la mesure des responsabilités. Avec les mêmes critères, appliquer la sanction.