Réseaux sociaux contre journalistes : assiste-t-on à une révolution anti-médiatique ?
15 janvier 2017 18:14, par Camelot du Christ-Roi...« Alors qu’on a plaisir à écouter J-L Mélenchon. »
Oui si on aime écouter des menteurs tel que lui !
rappel
J-L Mélenchon, né le 19 août 1951 à Tanger au Maroc
Membre du Parti socialiste (PS) à partir de 1976, il est successivement élu conseiller municipal de Massy (1983), conseiller général de l’Essonne (1985) et sénateur du même département (1986, réélu en 1995 et en 2004) siégeant dans l’opposition.Il est par ailleurs ministre délégué à l’Enseignement professionnel de 2000 à 2002, auprès du ministre de l’Éducation nationale J Lang dans le gouvernement de cohabitation de L Jospin
Il fait partie de l’aile gauche du PS jusqu’au congrès de Reims de 2008, à l’issue duquel il quitte ce parti pour fonder le Parti de gauche (PG) dont il devient d’abord président du bureau national, puis aux côtés de Martine Billard, coprésident, fonction qu’il conserve jusqu’en 2014
Sous les couleurs de la coalition du Front de gauche, dont le PG fait partie, il est élu député européen dans la circonscription Sud-Ouest (2009, réélu en 2014) Il est le candidat de cette coalition à l’élection présidentielle de 2012, où il arrive en quatrième position au premier tour, avec 11,1 % des voix. Il est candidat à l’élection présidentielle de 2017,hors cadre de partis » et sans le Front de gauche, mais au nom du mouvement La France insoumise, qu’il fonde en février 2016
Militant socialiste mitterrandiste
Motivé par le tournant de la rigueur entrepris par le gouvernement socialiste en 1983, il intègre la loge franc-maçonne R Leray du (GODF) où il a comme thèmes de prédilection l’idéal républicain et la défense de la laïcité. Outre cette filiation politique, il trouve dans la franc-maçonnerie une filiation personnelle, son père et son grand-père étant eux-mêmes maçons
Fondateur avec Julien Dray de la Gauche socialiste en 1988
En 1992, il vote et appelle à voter pour le traité de Maastricht qu’il considère comme un « compromis de gauche » Dans un discours au Sénat, il considère que la monnaie unique est l’instrument majeur qui permettra à l’Europe d’être « porteuse de civilisation, de culture, de réseaux de solidarité »
défend l’idée que le candidat socialiste pour l’élection présidentielle de 2007 doit être une personne qui a défendu le non au référendum sur la Constitution européenne, car cette échéance coïnciderait selon lui avec le calendrier européen pour une renégociation Dans cet esprit pour J-L M, Fabius serait le rassembleur au sein du PS
« Constant dans le mensonge ! »