"J’ai 2 000 fois plus de chances de me faire abattre par un Noir que par un Blanc"
9 février 2017 13:16, par Choc à PicCes antiracistes blancs sont vraiment des paumés.
A la fois ils jouissent de s’humilier, se dénigrer publiquement, et à la fois de dominer moralement car supérieurs dans le Bien et le Vrai (bon pas le Beau faut pas déconner).
Ils sortent en meute pour pleurer, insulter le "blanc raciste" ou la "société blanche" affublée de tous les maux, et puis pour bien se fouetter, car étant blancs ils sont toujours un peu coupables par essence. Ils ont peut être l’impression comme ça de retrouver une communion humaine et sortir de leurs déterminismes pour oublier leurs vies sans aucun sens. Mais toujours dans la violence et la désignation d’un ennemi. Ca ressemble à une forme bouc émissaire sado-masochiste. De nos jours c’est "Que celui qui se frappe le plus fort gagne !"Je sais pas s’il y a des bouquins là-dessus, ça m’intéresse.
Autant le phénomène du bouc émissaire classique est moralement condamnable mais quand même assez naturel et efficace pour souder le groupe, autant ce mélange d’auto-flagellation /chasse aux sorcières hystérique mène forcement une société à son délitement.
Et puis ils établissent un rapport malsain avec ceux qu’ils veulent "défendre" : il faut toujours que la "minorité" soit un peu inférieure et victime pour qu’elle ait besoin d’être protégée. Cette femme utilise et infantilise son interlocuteur pour se valoriser, elle le met dans une case, pré-déterminée par sa race et la société. Il n’a pas son mot à dire ni à faire d’efforts et se remettre en question pour s’améliorer, il n’est capable et responsable de rien, c’est la faute des "enculés blancs dont je fais partie". Et quand son interlocuteur se pense comme un être autonome qui cherche à sortir de sa condition par le haut sans agresser une autre personne, il est forcément une victime des racistes qui lui ont retourné le cerveau, il ne faut pas l’écouter...
J’imagine que dans la tête des Noirs intelligents et honnêtes ça doit faire des nœuds dans leur tête autant d’incohérences.