Louis de Condé : "J’ai voulu tuer De Gaulle"
10 février 2017 21:18, par CeltonIl y aura toujours des "humanistes" pour justifier l’injustifiable. Imposer sa culture (bien sur, ce n’est que le vernis extérieur) par la force n’est pas acceptable. Ce qui est étonnant c’est que cette humanité va toujours dans le même sens. Lorsque d’autres nations tentent d’en faire de même avec nous, il faut les combattre à tout prix. Qui ne défendrait pas Charles Martel.
Comme me disait mon père, ne fais pas aux autres ce que tu ne veux pas que l’on te fasse.
Excellent résumé que je tente de proposer à mes petits enfants.
Quand à ce sinistre individu, justifier, sans aucun remord si longtemps après, que De Gaulle était un dictateur "assassinable" puisqu’il est revenu sur sa décision de ne pas laisser le drapeau le drapeau du FLN flotter sur Alger, c’est du fanatisme, tout simplement. Le véritable dictateur, c’est lui.
De Gaulle, un « dictateur » si longtemps pris en exemple par toute la classe politique, j’en redemande même si je ne cautionne pas toutes ses attitudes, mais qui suis-je pour juger un homme qui a du subir toutes les pressions.
Quand à justifier l’engagement de ce soi-disant soldat par sa jeunesse à l’époque, non, puisqu’ aujourd’hui, il ne regrette pas et, à 20 ans, on peut se rebeller comme je me suis rebellé moi-même, en 1970, au même âge, quand au Tchad, au 1er RPIMA du camp DUBUT, à Fort Lamy, nous soutenions un dictateur, TOMBALBAYE contre un autre apprenti dictateur, HISSEN HABRE. Envoyé en pacification à FAYA LARGEAU, j’ai vu mes compagnons de beuverie se comporter en bêtes sauvages.
Dégouté par cette arme que j’adulais, je n’ai trouvé qu’un moyen pour me faire rapatrier de force, avaler des boites de sardines avariées jusqu’à la jaunisse.
Les bérêts rouges ou verts ne m’ont jamais plus fascinés.
Une conscience ne se fabrique pas en cours de route, elle vous habite ou non.