Quand Arrêt sur images fait la pub d’E&R en dézinguant le "Décodex" du Monde
22 février 2017 11:30, par Rémi O. LobryTo goy pride from jewish shame
Enfin, dans la galerie des nouveaux Look, nous avons en vrac :
L’ Antifa.
Au départ l’Antifa est un gars sympa qui aime bien boire des bières avec les supporters de l’équipe de foot de Valence. Mais comme il n’y a pas de match important toutes les semaines l’ Antifa cherche un exutoire pour vider son trop plein de testostérone. Il passe donc de supporter de foot à skinhead parce qu’il a beaucoup d’imagination. C’était ça ou les cours de mécanique quantique. Comme il a une sensibilité de gauche (Quel courage le mec ! Depuis le Mouvement du 22 Mars en France, il n’y a rien de plus dangereux que d’être de gauche !) Il devient Red Skin. C’est aussi con qu’un skinhead mais c’est labellisé de gauche et là les flics ont pour consigne de plutôt les protéger. Alors Alain Soral cassa le vase de Soissons et Dieudo mit une quenelle ailleurs que dans sa bouche. And that’s when all hell went loose ! L’ Antifa se mit à beugler No pasaran sans tenir compte de mes mises en garde comme quoi c’était le slogan des losers du POUM, des trotskystes éliminés par les staliniens en Espagne après avoir bien servi. L’ Antifa attaque les librairies où il détruit des livres qu’il n’a pas lu parce qu’il ne faut pas les lire afin de lutter contre le fascisme. Un peu à la manière de ces jeunes gens qui à Berlin dans les années trente faisaient des autodafés. Çà consiste à faire des piles de livres, de les arroser d’essence et de les cramer. Ils luttaient surement contre le fascisme eux aussi.
L’artiste de rue.
Auteur-compositeur-interprète, animateur d’ateliers d’écriture, Street Art Activist,, galeriste d’Art Contemporain... J’ai nommé l’Intermittent de la Société du Spectacle.
Celui-là c’est vraiment la plaie ! Et ils pullulent, il y en a un nid en bas de ville. Tous les jours de marché il y en a un ou deux sous mes fenêtres pour nous dénoncer les dangers du nucléaire (on en apprend des choses...) avec une petite guitare-jouet (on dit un Ukulélé) ou me rappeler que El pueblo unido jamas sera vincido ! Ce qui fait bien marrer les Chicago Boys de Milton Friedman qui remettent le couvert en ce moment même à Caracas puisque la gauchiasse (J’aime bien dire/écrire gauchiasse, ça me parle. Socialopes c’est pas mal aussi) n’a toujours pas décrypté ce qui s’était passé à la Moneda.
On est cernés les mecs !