Stratégie du chaos : après les migrants, étudiants, antifas et racailles, les lycéens
24 février 2017 16:54, par Махсуд Махкамов
Ces faux-rebelles... Je les ai bien connus quand j’étais collégien et lycéen. Ils venaient crados avec des jean’s troués en prenant cette tenue comme un acte d’anticonformisme sociétal et insultaient ceux qui suivaient les cours... incapables de comprendre l’émancipation (la vraie) apportée, notamment, par ces savoirs. Ils crachaient par terre et commettaient de menues dégradations (graffitis dans les chiottes et sur les tables).
Là où c’est très intéressant, c’est ce qu’ils sont devenus 20 ans après : certains des épaves, d’autres sont rentrés dans le rang, ont fini chefaillon ou commerciaux et ce sont les pires. Harcèlement, application débile du règlement, servilité, dureté avec les caissières et obséquiosité avec les "chefs". Passer du crassous anti-flics au connard de "manager" se fait parfois sans transition.
C’est pourquoi, comme l’a dit Soral, ce que l’on pense entre 14 et 20 ans a souvent hautement de valeur, à condition de continuer à le penser à 40 ans.