Pour Marion Maréchal-Le Pen, le CRIF n’a pratiquement aucune légitimité en France
27 février 2017 09:54, par MEIERSA une époque l’on reprochait au Parti communiste français de n’être qu’une courroie de transmission de la IIIème internationale, et donc du pouvoir soviétique ; c’est très exactement le problème du CRIF aujourd’hui. Il est une courroie de transmission de deux organismes, le congrès juif mondial à New-York et le gouvernement israélien, chargé de transmettre leurs instructions au gouvernement français. Il faut voir que la tradition française d’intégration du Judaïsme dans la communauté nationale, qui remonte à Napoléon Ier est radicalement différente. L’Empereur avait convoqué deux assemblées, le Grand Sanhédrin et l’assemblée des notables (juifs) chargé d’assurer l’intégration, sur un pied d’égalité des Juifs dans le peuple français. A l’époque de Napoléon les Juifs, s’appuyant sur les lois du Talmud, recueil de textes et de discussions rabbiniques rédigé entre le début de l’ère chrétienne et l’an 500 apr.JC environ, considéraient les Français non-Juifs comme leurs inférieurs, auxquels ils devaient prêter à des taux usuraires, l’usure n’étant pas permise entre Juifs ; celà conduisait dans les régions où les Juifs étaient fortement implantés comme l’Alsace à un appauvrissement des paysans chrétiens, ruinés par l’usure et menacés de la perte de leurs moyens d’existence ; de même les Juifs se refusaient au service militaire préférant user de l’échappatoire, permise à l’époque de s’acheter un remplaçant, le Talmud partant d’une idée de la supériorité de la vie juive par rapport à la vie des Chrétiens. Napoléon demanda aux notables juifs la dénonciation de ces pratiques, la confirmation qu’ils considéraient la France, et non un Israel mythique comme leur patrie, et la supériorité de la loi républicaine par rapport aux lois talmudiques. Tous ces acquis furent remis en cause après 1945. Le CRIF a fait en sorte d’amener les gouvernements français à reconnaître la supériorité des principes talmudistes par rapport à la loi républicaine, comme la supériorité des injonctions du Congrès juif mondial et du gouvernement israélien par rapport aux intérêts diplomatiques de la France !