On s’embrasse et on oublie
7 mars 2017 20:18, par Aymard de Chartres
Je devrais être invité à ce type de débat prolongeant l’inique procès en sorcellerie intenté contre Alain Soral. Dans ce type de procès politiquement correct, le droit descend d’un niveau en basculant sur un plan secondaire et s’ouvre sur le théâtre d’une parodie de justice où les acteurs de la poursuite sont subitement métamorphosés en une sorte de Commandeur incarnant Arès, Eris et Deimos. L’aboutissement de cette odieuse mascarade punitive se termine par la condamnation pénale de la victime expiatoire, exemplairement châtiée pour son insupportable insolence et déclenchant ainsi la jouissance irrépressible des nouveaux apôtres de la sainte Shoah.