Soral, vite ! – Ép.7 : "Macron, c’est pas une baudruche, c’est une montgolfière !"
21 mars 2017 20:12, par Jacques AbelIl se dit qu’on ne doit pas sous-estimer un adversaire, mais, M. Macron s’est vraiment montré en dessous de tous les pronostics réalistes faits contre lui, ici. Dans la rédaction des nasillards, même si les sondages déjà préparés ne pouvaient pas être modifiés, ses soutiens invétérés se sont montrés les mines déconfites pour nous annoncer à coup de chiffres, qu’il avait gagné. bon sang !
Même Ruth y croyait pas qu’on puisse être aussi pitoyable avec une telle puissance de frappe derrière soi
L’histrion élaboré de longue main, porté depuis des mois par un institut sondagier né presque pour lui.
Ela, comme ce roi de légende... et, bê, pour dire aux moutons qui voter.
Rien n’y fera, leur tâche, est trop incrustée dans le drame.
Ce potentiel sceptre du pouvoir occulte, avec sa tête grotesque garnie des grelots du tintamarre anti-France, est le symbole de la folie de ces seigneurs en fin de règne, véritables bouffons de l’histoire.Oui, leur M. Macron, est une marotte.
Puisque les sondages nous disent, que c’était une causerie facile pour le bougre, qui sommes-nous pour douter ?
Gageons que dans les jours qui viennent, la pression va s’accroitre sur ses frêles épaules.
L’unique vainqueur de ce débat, c’est , le suicide de la gauche.
De là à conclure que le merdia a tué sa propre création hier soir, c’est hâtif, mais si la pression est mise sur BFM par internet pour qu’elle ne réalise pas une formule sur mesure pour son candidat, c’est encore le réseau citoyen qui gardera la haute main sur le déroulement des choses...
Plus prosaïquement, si Mme Le Pen avait une réelle chance de victoire, la presse internationale s’en ferait l’écho et assurément la peur se manifesterait partout dans le monde, Le Pen-Poutin-Trump, allez.
Mais, aux législatives, un sacré ménage s’annonce avec ce parti et vu comme aujourd’hui les alliances politiques ne dépendent plus des maisons mères, ça va valser.
La Française des jeux bat tous ses record, c’est pas encore demain que le Français va bouger vers l’inconnu même s’il aspire à un réel changement, il va prendre, le traditionnel !
François Fillon n’a même pas besoin de faire une vraie campagne populiste, quelques mots et expressions biens senties suffiront à faire la différence, après les débats, dans les derniers jours, et c’est l’autorail jusqu’à l’Élysée.
M. Macron a probablement perdu l’élection hier soir, trop agité, nerveux, irritable, imprécis et flou !
Désolé de casser l’ambiance, mais c’est ça la politique.