Pour une réorientation de l’aide publique au développement de la France
2 mai 2017 14:00, par Francophile
C’est peut-être l’effet Président Diouf (qui après sa présidence a pris en main la francophonie), ou l’apport à une époque de L.S. Senghor, mais aujourd’hui au Sénégal, majoritairement dans les villes il est vrai, on parle et on écrit un français plus correct que dans nos banlieues ou zones de je ne sais quoi. On me dira, par racisme intellectuel disons, que le sénégalais est phraseur à l’oral, qu’il aime les cursives à l’écrit, en gros qu’il est prétentieux, toujours est-il qu’il vaut mieux apprendre le français dans ce pays que dans certains coins du nôtre. Je suppose que c’est le cas également dans d’autres pays d’Afrique.