Albi : Macron hué et sifflé par les travailleurs
5 mai 2017 03:03, par Francois DesvignesC’est cela : ce qui compte c’est le temps long, le sillon, le concret.
Bien sûr, le débat nous a sonné : les journalistes ont commis l’erreur d’y parler de programme de parti et de gouvernement pour les Français à des candidats présidentiels censés présenter leur projet pour la France, au dessus des partis et des gouvernements.
Une comptabilité de chef de gare sur le remboursement des prothèses vs ’les constances de la politiqué étrangère et européenne de la France en face des hégémonies impériales"
Nous avons des responsabilités et ils nous empêchent de les clarifier en nous enfermant dans des discussions de chiffon.
L’erreur des journalistes fut celle-là et celle des candidats de ne pas l’avoir relevée.
Néanmoins, le fait demeure :
M.L.P. a raison de soutenir que la constance de la politique française depuis Clovis c’est la France d’abord, la France toujours, la France seulement parce que la Paix et l’indépendance de la France sont les conditions de la la paix et de l’indépendance et du monde, et qu’ainsi combattre la France, c’est combattre le monde.
Et la France aphone c’est le monde muet.
Or, Macron, qui incarne l’AntiFrance, n’a pour seul programme que de combattre la France et par elle, le genre humain.
Ce pourquoi, si nous l’élisons, son quinquennat sera celui des sifflets et avant cinq ans le glas de son enterrement.
Vive la France !
Vive la France, non en elle-même, mais parce que depuis toujours, Lumière et Espoir du Monde !
Gloire à nous, Français, qui depuis 1500 ans crient au genre humain, notre César : Ave Caesar morituri te salutant !
Ce fait demeure : la preuve à Albi.
Et donc oui, nous dévasterons le dinky toy du mondialisme.