Quand Les Inrocks font la promotion d’Henry de Lesquen
15 mai 2017 09:27, par attentionA propos d’un extrait de texte d’origine inconnue, intitulé : "Testament de Serge de Beketch ou Plus un centime pour Radio Courtoisie !"
http://beketchcourtosie.canalblog.com/, cité par un commentaire le 14 mai à 10:09 de "Marie" où il est dit que " le texte semble être écrit par l’un de ses vieux amis, Serge de Beketch", extrait empli d’injures contre diverses personnes et invérifiable, une réponse :
Le style n’est pas celui de Serge de Beketch, qui du reste ne s’entendait plus tellement sur le tard, dit-on, avec Ferré, le co-fondateur de Radio Courtoisie, pour des raisons philosophiques ; lequel Ferré est encensé par l’extrait en question.
SDB avait de l’humour, de l’esprit, de la fidélité, de la correction, du courage ; il vénérait son épouse, et à travers elle, respectait les dames. Il n’a jamais été adepte du coup de couteau dans le dos, préférant exposer les choses avec une franchise qui lui coûta cher.
Mais l’élément révélateur de la fausseté de ce texte, c’est l’accusation d’"antisémitisme" supposé lesquenien apparue après moult injures fort peu galantes contre des piliers historiques de cette radio, royalistes comme de Beketch (maurassiennes), accusation qui parle toute seule.
A E&R : ce texte injurieux cité par Marie, est d’évidence forgé et discrédite son auteur, ne le relayez pas. Du reste l’auteur de l’extrait prend la précaution de vous avertir : n’allez pas chercher un démenti à mes médisances chez les proches de de Beketch, vous l’obtiendriez sans peine !
Il est facile de créer de toutes pièces un texte sur Internet et de l’attribuer à un mort.
De Beketch n’aurait injurié personne avant de mourir, avec des attaques ad hominem sans grâce, en-dessous du porte-monnaie. Encore moins ad feminem (latin de cuisine, mes excuses). Ayant un jour échangé quelques mots avec madame Paoli, je l’ai trouvée charmante et courtoise, moi.
Radio courtoisie, avec son style au charme parfois un peu désuet, et qui laisse la parole à un certains nombre de jeunes intellectuels sincères, dérange beaucoup de monde.
Plus un centime, s’intitule le site, on voit d’où ça vient, cette obsession d’écraser par la ruine et la misère.