Victoire et défaite des idées souverainistes
17 mai 2017 12:32, par anonyme
La petite bourgeoisie urbaine du tertiaire mélanchonnienne se sent déclassée et donc se "révolte" d’une certaine manière, mais ne nous y trompons pas, abreuvée de gauchisme de base dès les années lycée, elle se bouche le nez devant le mouvement social national plus rural, du secteur primaire ou secondaire, qui lui exprime l’urgence de la révolte sans équivoque...
Il y a donc une fracture très importante entre les deux courants, les uns se sentant de par leur petit diplôme au dessus du monde ouvrier et / ou paysan et refusant d’y être associé sous peine de déchoir...
La réunion des deux les obligerait à descendre du confortable piédestal de leur petit narcissisme idéologique pour rejoindre ceux qui sont vraiment le moteur de cette lutte nationale et sociale... et ça, c’est pas gagné... car la petite bourgeoisie ne rêve que d’une chose : faire partie de la grande...