La très bonne, saine et importante nouvelle de cet article est que le mort a eu le droit de mourir chez lui, de mort naturelle.
La très bonne nouvelle est que le mort a évité l’indignité de mourir drogué, branché de partout sur un lit en plastique, intoxiqué par des produits perfusés directement dans sa veine, sans aucun pouvoir d’arrêter ce viol.
J’ai failli mourir ainsi, toutes mes volontés niées par les "médecins". Ce n’est pas moi qui ai appelé l’ambulance qui m’a livrée à cet enfer. Ce qu’il serait urgent de se demander, c’est pourquoi la maladie et la mort sont devenues tellement insupportables à voir dans la société actuelle, que ceux qui se croient vivants ont ce besoin en extrême urgence de les sous-traiter à des médecins.
Jamais plus je ne veux être mise à la disposition d’un "médecin". Je veux mourir en paix, dignement, comme cet habitant.
Si l’action de ce maire est montée en épingle pour en fabriquer une nouvelle fausse tragédie, la suite prévisible dans un régime dictatorial est : interdiction pour les personnes âgées ou malades de rester à domicile, obligation d’hospitalisation. Perte de tous les droits, même celui de mourir selon sa volonté.