Migrants : la Pologne et la Hongrie solidaires face au Parlement européen
25 mai 2017 16:30, par furaksPour relocaliser les migrants égarés en Hongrie et en Pologne, on a Macron l’élu, roi de la France en soldes.
Hier balade dans la rue de La Chapelle, entre les métros La Chapelle (métro aérien proche de Stalingrad, et non pas Porte de La Chapelle où se trouve un important centre d’hébergement de migrants) et Marx-Dormoy.
Pire que Calcutta au niveau de la surdensification urbaine et de la tiers-mondisation macadam. On se marche littéralement dessus sur des trottoirs, pourtant assez larges, dans les gaz d’échappement de véhicules pare-choc contre pare-choc. Une foule monotone, grise et sinistre, affairée ou oisive, non européenne, s’écoulait en flux ininterrompu longeant ces affreux petits commerces dits "exotiques". Bientôt les "syriens" de Pologne et de Hongrie par-dessus ? Accrochés aux fenêtres ? Aux gens ? Aux pare-chocs ? A L’Anne de Paris ?
Cela ne présage rien de bon pour le futur du quartier. A quoi peut s’attendre sa population ancienne et nouvelle en cas de troubles de l’approvisionnement, de l’électricité, concentrée comme elle est sur une surface réduite ? Des chemtrails ? Des bombes ? Des émeutes ? De l’huile d’olive ?
Déjà la santé s’en ressent. Dans un bus sur le bd Barbès, j’ai vu une Française dans les 50 ans tomber dans les pommes. La chaleur, la pollution, la sombre foule, la position debout, la tristesse aussi...
Alors vivent la Hongrie (qu’elle relâche Horst ; on le lui échange contre un migrant ingénieur de La Chapelle) et la Pologne, mais non à leurs expulsés.