Une kiosquière : "C’est devenu un métier de crève-la-faim"
3 juin 2017 14:35, par anonyme
Cet endroit du monde est bien un de ceux où il est vraiment possible de bien organiser une escroquerie. A un certain niveau de profit, si ça ne saigne pas publiquement, et que le risque d’attirer l’attention d’un système judiciaire très très indulgent pour ce genre de sport (ça en croque aussi) est réduit à sa plus simple expression, on peut vraimment s’agglomérer, s’assurer les concours de toutes les complicités officielles indispensables (rien que du beau linge, et ’’propre’’). En dernière instance même l’argent public est mis sans problème au service d’une escroquerie bien montée, c’est ’’no limits’’ et tout le ’’monde’’ (ce monde là) veut en être. Pas besoin de maffia à l’italienne (des petits joueurs), celle de vrounze est déjà au manettes.