Poutine : "L’OTAN est un outil de politique étrangère des États-Unis"
5 juin 2017 12:39, par respironsLa vaste Russie dispose d’un espace suffisant pour exploiter sans dommage national ni planétaire ses réserves quasiment inépuisables de gaz, de pétrole, de métaux, qu’elles soient sous-marines ou terrestres.
En revanche l’Europe très peuplée n’a absolument pas les moyens d’exploiter des mines, quelles qu’elles soient. Ce continent a été constamment exploité, surexploité (sa terre, ses hommes) et construit, surconstruit. Il n’en peut plus. Il DOIT pouvoir RESPIRER en préservant son héritage historique, ses terres, ses langues, et cultiver sa richesse éternelle, son génie propre : la recherche dans tous les domaines, la matière grise dont la Russie est actuellement largement pourvoyeuse.
Le partenariat Europe-Russie s’impose donc, pour le plus grand bien de l’écologie.
La France doit relancer son programme nucléaire de quatrième génération sur son territoire. En partenariat avec la Russie également, très avancée sur le sujet, et dans le but d’éviter un détournement catastrophique de la merveilleuse énergie nucléaire, la moins polluante de toutes, jusqu’à présent.
Nul besoin en France des industries éoliennes et solaires. Ces deux dernières doivent à la rigueur être expérimentées dans le Sahara, là où personne ne vit à des centaines de km à la ronde, à partir de ressources locales. Les migrants y seraient très utiles, et puisque les immigrationnistes et architectes textiles aiment les tentes, ils pourraient partir là-bas aider à en édifier pour leurs "ressources humaines" préférées.
La pollution est oeuvre humaine, majoritairement. Le vrai fléau écologique est la surpopulation, l’inadéquation entre l’espace disponible et des milliards de clampins fabriqués à tire-larigot par les populations les moins capables de leur assurer le nécessaire, qui finissent par piller et détruire les populations les plus capables et autonomes.