La souffrance des pères après l’avortement, et ses liens avec le suicide des hommes
7 juin 2017 19:39, par Homen
C’est parce que la justice c’est n’importe quoi ! Et, parce que les avocaillons sont des merdes ! Je pourrais développer longuement, mais bon.
Pensons plutôt aux veinards qui s’en sortent "à bon compte" et qui à 45/50 ans, encore fringants, redémarrent avec de la chair fraîche. Les emmerdeuses délaissées, du même âge mais moins opérationnelles, vont alors connaître les aventures à la con, puis la déception puis la solitude (sauf le clebs, le chat ou le canari). Triste fin pour le féminisme, mais au final méritée.