La souffrance des pères après l’avortement, et ses liens avec le suicide des hommes
8 juin 2017 23:01, par bonjourJe trouve cela positif pour l’anthropocène : un futur-chômeur en moins et une tapette en moins. Vous vous soucier d’un bout d’bidoche que vous voulez garnir d’une âme ; d’un opérating system religieux pas moins pire que celui Transhumaniste (qui n’a d’ailleurs rien de nouveau) dénoncé par Lucien Cerise.
Des animaux annonciateurs, des fleurs messagères ont tjs peuplées aussi les mythes occidentaux.
Pourquoi vous pratiquez l’inversion accusatoire : les bites-à-pattes (violeurs, tueurs, haineux, sexistes, dominateurs, petits chefs) seraient des victimes !! Ho, vous allez nous faire pleurer les tapettes.
Votre indifférence au viol dit la nature de vos valeurs religieuses.
On peut reprendre le dessin de Zeon : avec dans la balance une pauv’ bite-à-patte et de l’autre côté 30000 femmes violées par an en France (j’ai pas dis au Maroc ou à Abidjan) ; un détails sans doute.
Je n’ai pas les chiffres de celles mortes sous les coup de leur conjoint (hétéro et parfois... blanc ! Mais ça reste entre nous)
PS : et parlez de cette tapette qui s’est fait aligné par une lesbienne ! Après tout, par votre silence vous le suicidez (médiatiquement) et on voit ce qui POUR VOUS est "digne" d’un homme... qui a des couilles.
Est-ce que seriez capable d’expliquer ppsycho-sociologiquement votre (la) GYNOPHOBIE ? Et par dessus votre haine de la femme.