Suicide et mal de vivre à l’ère de l’hypermodernité
8 juin 2017 00:39, par Ajax
J’aurai toujours du mal à comprendre les suicidaires... quit à mourir, c’est qu’on n’a plus rien à perdre. Ce qui ouvre forcément tout un tas de possibilités.
"Quand on pousse un homme au maximum du désespoir et de sa propre violence, cet homme-là a tous les droits".
Maintenant c’est vrai que ce monde donne de moins en moins envie d’y vivre.
Constamment annoncé comme fruit de l’évolution et du progrès, promettant un avenir formidable, il est en réalité de plus en plus dégoutant.