Un jour en France : mercredi 14 juin 2017
14 juin 2017 21:49, par Crux FidelisL’école symbolise l’état de notre pays car cette institution est la source de tout. Nous sommes des êtres enseignés ou tout nous vient des autres, école, parents, amis, ennemis, auteurs, historiens, et tout le monde y passe.
Il ne peut plus y avoir de grands hommes et de grandes femmes sans une saine éducation. Des grands artistes non plus, c’est très certainement la mère très catholique de notre George Brassens qui lui a donné sa base littéraire, son père très républicain sûrement celle révolutionnaire. Plus de paroliers ni de grandes musiques non plus sans éducation, il faudra piocher sur la virtuosité pure, le talent inné à la Mozart, encore faut-il la sensibilité.
C’est très certainement cette école qui a crée cette nouvelle classe prolo, vous savez les bons français explosés que l’on voit parfois dans les supermarchés, les fameux bidochons ou pierrafeu qui hurlent sur leurs enfants et les insultent avec des : " Tu vas fermer ta g***le ! ", " Qu’est-ce que tu peux m’emmerder ! "etc.. Je suis trentenaire, mais ces prototypes n’existaient pas avant il me semble, pour ma part j’en reviens encore et toujours à la déchristianisation. On nous a volé nos racines, notre histoire, notre pays et même notre religion et à mon avis ça donne ça. La classe populaire en plus d’être dindonnée jusqu’au trognon semble malgré tout se plaire dans cette vulgarité, pas de modèle, plus d’exemple. Cette catégorie quadragénaire pour la plupart ont mangé de plein fouet la mixité de l’école mise en place dans les années 70. Il faudrait se poser des questions sur le progrès social et l’intérêt réel de la mixité garçons-filles à l’école. Je sais que la judéo-maçonnerie sait d’ou " le calcul " mais pour la grande quantité de prolos d’ou je viens ce débat serait intéressant à lever. Quand j’en parle au travail ou à des amis, je sens leur regard qui scintille un peu, l’oeil papillote un cours instant, comme si une petite lueur s’éveillait. Il faut être en état de grâce et ensemencer les têtes comme on peut, égrainer son chapelet et lancer des graines à tout va, je crois que c’est tout ce qui nous reste. On nous a tout pris, il n’y a qu’à la Sainte Messe ou je me sens en France. Un peu en Italie aussi, avec le latin^^