"Ce n’est pas Soros qui doit décider de l’avenir de l’Europe"
18 juin 2017 16:17, par Rémi O. LobryJ’entends dire que les peuples des pays que nous appelions satellites du temps de l’URSS en ont plein le cul des conneries eurocratiques mais qu’une certaine classe dirigeante chez eux est accro au pognon de Bruxelles.
Qu’en est-il ? Nous n’avons pas des gens qui connaissent bien la Hongrie chez nous. Lucien Cerise, je crois ? Il n’est pas macqué avec un fille de l’Est Lulu ? En tout les cas le grand costaud qui nous fait des vidéos sur les calories et l’anatomie et dont, je m’en excuse, j’ai oublié le nom, lui est plus ou moins carrément hongrois. N’est-il pas ?
Ce serait bien, avant que ce ne soit la Grèce devenue une poubelle à ciel ouvert qui jette l’éponge en premier en faisant vraiment défaut, que quelques polonais, par exemple, fassent savoir haut et fort que leur destin n’est peut-être pas de devenir plombier déplacé au rabais sur la Côte d’Azur.
Puisque ces Messieurs non élus de l’Union Européenne nous imposent leurs directives from the top down, ce serait bien qu’ils se prennent une immanence de radicalité barricadière en mouvement (Merci Francis) from the bottom up en pleine gueule en retour pour une fois.
Mais j’entends dire aussi que dans les pays de l’ancien « Bloc de l’Est » il y aurait aussi des crétins qui ne rêveraient encore que d’Hollywood et de Coca-Cola.
C’est pas facile de se faire une idée qui tienne vraiment la route faute d’infos fiables.