Le vote, la crise, et le futur
21 juin 2017 22:22, par Verner
Sapir est un mielleux, un douçâtre.
Si ses analyses ne sont pas mauvaises, il n’en reste pas moins qu’elles transpirent le ’’paradoxe’’ : souvent, trop souvent, il y ménage la chèvre et le choux et de fait, il affadit ce qu’il voudrait être un plat de résistance ! C’est un inquiet de nature...inquiet de sa petite personne...Alors surtout ’’pas de vagues’’ qui risqueraient de déstabiliser sa petite mécanique bien rodée...