En fait, elle est parfaitement soumise : au mondialisme, à l’elgébétisme, au globish (ou global English, la version esclavagiste de la langue de nos maîtres), au rap, à la sauce gauchiste, au marxisme culturel, au féminisme, au trans- tous azimuts, à l’afrocentrisme — enfin, à toutes les tares inventées par les gauchistes blancs depuis au moins les immenses gauchistes Sartre et de Beauvoir.
Et le rap, direz-vous ? Certes, cette prédication ultra-violente, misogyne et totalement cynique qu’est le rap est née dans les ghettos noirs américains. Toutefois, il n’aurait jamais pu devenir le phénomène planétaire qu’il est devenu s’il n’avait bénéficié du soutien enthousiaste des médias (par ex., pendant des années, le New York Times a publié des comptes-rendus quasiment hebdomadaires de disques et de groupes de rap, qu’on appelle aussi ‘hip-hop’ pour lui prêter plus de respectabilité, parce que le mot anglais ‘rap’ veut dire et ‘bavasser’ et ‘taper’), d’intérêts commerciaux considérables, et même d’administrations gouvernementales (à Paris, par exemple) ?
Et l’afrocentrisme ? Certes. Mais, là aussi, il s’agit d’une doctrine qui puise dans le marxisme et l’anthropologie. Voir le rapport de Frantz Fanon à Sartre, et l’ethnomasochisme de Sartre dans sa description de la condition des noirs et de la négritude dans sa préface au livre de Fanon "Les Damnés de la terre" et sa préface "Orphée noir" à l’ "Anthologie de la nouvelle poésie nègre et malgache".