Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°478
1er juillet 2017 17:41, par xyzL’affaire Gregory, une nouvelle analyse inédite, c’est gratuit :
Au commencement, il y avait le père Jacob, né dans les années trente. Il confondit une de ses filles (Louisette) avec sa femme au point de lui faire une fille-petite-fille, handicapée mentale. Ou l’art de tout mélanger, avec pour résultat la tare. Et le meurtre, au bout du chemin ?
Les tabous pourtant ne sont pas faits pour les chiens.
Il y avait trois soeurs : Louisette, Monique (mère de Jean-Marie Villemin, grand-mère de Gregory) et la mère de Bernard Laroche qui mourut au lendemain de la naissance de ce dernier, et qui écrivit avant de mourir une lettre, aujourd’hui introuvable, révélant un secret qui restera secret.
Tante Louisette est aussi la soeur d’un des deux récents mis en examen : Marcel Jacob, élevé avec le semi-orphelin Bernard, avec lequel cet oncle n’avait que 9 années de différence.
Il y a une possibilité que Bernard soit un fils Jacob de père (grand-père) et mère, après tout (pure hypothèse). Souvent les pères incestueux ne se gênent avec aucune de leurs filles.
Ce secret, qui aurait fait des frères de sang de Bernard et Marcel, peut les avoir conduits à des complots méchants. A noter : Bernard hébergeait gratuitement sa tante victime de l’inceste en lui prêtant sa propre maison. Les corbeaux auraient voué une haine féroce à ceux dans la famille qui échappaient à la malédiction de l’inceste, recréaient la normalité, suivaient les règles sociales ancestrales.
Bernard se serait fait avoir. Ce qui explique son absence totale de précautions. Il devait remettre l’enfant à quelqu’un (Marcel ?) qui ferait peur au papa avant de le lui rendre, dans sa tête. Lui Bernard dirait qu’il emmenait l’enfant jouer avec son fiston à lui, voilà tout.
Tout ça pour dire que oui, l’affaire Jacob-Laroche-Villemin nous intéresse pour de bonnes raisons ; elle est pleine d’enseignements.
Et pourquoi l’enquête a-t-elle été bâclée à ce point ?