Comment l’INSEE manipule les chiffres de l’immigration
2 juillet 2017 09:13, par maomoa
Dans les grandes villes en France, l’immigré et descendant d’immigré, à vue d’oeil, tous âges confondus, c’est la moitié de la population. 20 pour cent ? C’étaient les années 90.
De plus, l’immigré et descendant d’immigré amène ou génère de plus en plus de personnes improductives en Europe : enfants, vieillards, handicapés. Là non plus, on ne connaît pas les chiffres, mais on les voit dans la rue.
Toutes les administrations regorgent de "minorités" visibles. Il n’y a quasiment plus à Paris d’hôtes d’accueil et de gardiens qui ne soient pas africains d’origine, peut-être antillais, le plus souvent jeunes. Une véritable discrimination raciale à l’emploi. Ce sont souvent des tâches sédentaires qui n’exigent aucun muscle ni adrénaline, et qui seraient mieux adaptées à des retraités et pré-retraités mis à la porte pour non-jeunesse. L’emploi des anciens valides permettrait aux jeunes Français de garder une partie des cotisations retraite pour élever leurs propres enfants.
De fait les immigrés et descendants d’immigrés, pistonnés par un pouvoir abusif, concurrencent la population de souche et menacent sa survie.
La France est (était) un écosystème à préserver et faire fructifier, pas un hôtel, une gare, ni un cimetière.