Le texte d’Alain Soral qui lui a valu un procès par Henry de Lesquen
3 juillet 2017 14:12, par PMJLLIl est toujours vain de s’immiscer après coup dans un conflit (de plus ici en partie personnel) car tout a été analysé avec passion par les 2 parties. Dans le texte attaqué par A. Soral une lecture possible est que H. de Lesquen n’y cire nullement les pompes sionistes, mais qu’il loue l’efficacité de leurs méthodes, indépendemment des mérites ou non de leur cause (le sionisme). Il ne dit pas qu’il approuve le sionisme. Seule sa conduite par ailleurs et ses autres "communications" permettent de déterminer ou non son pro-sionisme. En tout cas il est (malheureusement) possible de n’y voir, en substance, qu’une observation éduquée sur les méthodes sionistes, aussi cruelles soient-elles, et un appel à s’en inspirer en Europe chrétienne pour traiter les envahisseurs musulmans.
Evidemment, en réalité, le sionisme y semble complètement validé, mais sans l’être formellement. C’est d’ailleurs soigneusement fait exprès.
Je comprends très bien la position d’Alain Soral concernant la Palestine et je l’approuve.
Je n’ai pas de sympathie pour H. de Lesquen, pour le simple fait qu’il est l’exemple-type du haut-fonctionnaire, à la fois fortement diplômé (X-ENA-Sciences Eco), et largement stérile, perpétuant la mainmise de tous les incapables de Bercy et d’autres administrations sur le peuple français, stérilisé dans son devenir économique et dans son travail, par l’obligation de payer TROP d’impôts destinés à payer TROP de fonctionnaires inutiles, dont M. de Lesquen est justement un exemplaire intéressant.
Le plus grand reproche à formuler envers M. de Lesquen est de n’avoir jamais RIEN fait, à son niveau, pour traiter efficacement l’invasion musulmane (ou autre) en Europe, en ne dénonçant jamais les vrais responsables qui ne sont pas les envahisseurs eux-mêmes mais les sionistes français leur ouvrant les portes sournoisement et effectivement.
A.Soral pratique courageusement cette dénonciation, mais il est vrai qu’il n’a pas la « carrière » (lamentable) ni la retraite dorée (trop) d’un haut fonctionnaire à préserver.