Ben ça alors, on n’y avait pas songé. Admettons et tentons d’envisager le prochain coup du capital, comme sur un plateau d’échec, et aidons-nous de l’histoire contemporaine.
Que s’est-il passé quand les peuples d’Europe ont voulu changé la société dans les années 30 ? Des millions de morts ... Rien que ça.
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Alors, je veux bien que d’autres solutions existent, mais ne pas oublier qu’une action entraine une réaction, cela ne me parait pas complètement absurde.
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Avant d’avancer un pion sur une position délicate, on s’assure de sa protection par une destruction au moins de même importance ou plus que le risque encouru.
C’est le minimum. Sinon, on pense printemps, comme Micron 1er l’exige.
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Au final, dans ce genre de réflexion, on revient toujours au même point : la violence, la puissance, comment y répondre, comment l’esquiver, comment rester en vie si le capital s’emballe ?
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Parce que croire un instant qu’il laissera la population s’émanciper sans bouger le petit doigt, c’est plus que de la naïveté.
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Sur un échiquier, nous n’avons pas d’autres choix que d’augmenter notre pouvoir de nuisance, au moins à équivalence, mais plus c’est mieux, par rapport à l’adversaire, sinon, on joue de la flute.