Jacques Sapir : "Nous sommes en marche vers la précarité généralisée"
15 juillet 2017 14:56, par Martin
Il n’y aura pas de contestation violente dans la rue à cause des gonzesses : vous voyez nos donzelles lycéennes jouer les pétroleuses, faire cramer l’Hotel de Ville, avec Hidalgo dedans ? Impossible . Quant aux jeunes "hommes" ils sont bien trop dévirilisés pour mener des actions violentes . Quand nos droits sociaux seront morts ils mettront des bougies des bouquets de fleurs et pourquoi pas des nounours pour leur "rendre hommage", une expression très utilisée aujourd’hui par la voyoucratie au pouvoir .