Attentat de Nice : un an après, les zones d’ombre d’un dossier très politique de 80 000 pages
18 juillet 2017 18:18, par Heureux qui, comme Ulysse...Pourquoi commenter le roman politico-médiatique que constitue cette tuerie ?
Aucune raison valable si ce n’est entretenir une polémique qui sert en réalité le projet mortifère de l’ennemi.
Ce massacre a été organisé par l’Etat profond qui a court-circuité cette fois-ci le sommet de la pyramide de la "province France" (le pouvoir apparent) avec l’appui des "services" d’un état voyou qui a fait en l’occurrence le jeu politique d’un zélu mafieux lui aussi "éternellement lié", point !
Non, le cadavre placé à l’intérieur du camion n’est pas celui du conducteur blessé à la jambe et exfiltré.
Non, même le plus nul flic municipal n’arrose pas un pare-brise de camion arrêté sur deux mètres de largeur avec son 38 spécial à si faible distance en évitant soigneusement de viser le conducteur présumé de ce même véhicule.
Non, un 38 spécial ne perce pas de la sorte un pare-brise de camion, en tir oblique qui plus est.
Oui, une arme longue perfore un pare-brise de camion et produit ce qui nous a été donné à voir.
Non, un véhicule qui percute des dizaines de personnes à grande vitesse ne finit pas sa course immaculé (que celui qui n’a jamais heurté un sanglier ou un chevreuil avec sa voiture me jette la première pierre).
Non, personne ne peut avoir vu l’intégralité de la scène du fait de son étendue (ce qui laisse la possibilité d’y faire entrer ou sortir certains acteurs selon les besoins du scénario).
Alors, la personnalité ou l’état psychologique supposé d’un individu décédé incapable de défendre la personne qu’il avait été, on s’en fout, maghrébin délinquant patenté ou pas -en même temps, toutes ces racailles qui devraient logiquement être en taule ou reconduites hors de nos frontières seraient bien inspirées si elles commençaient par saisir que c’est le plus souvent parmi ces crapules impunies que l’Etat profond recrute ses "martyrs" contre la promesse d’une remise de peine ou quelques Euros... Les baisés comptez-vous !-, il n’est pas l’auteur de ce crime, point !