Gérard Filoche chiffre la loi Travail de Macron : "450 milliards au Médef"
17 juillet 2017 11:37, par anonyme
Ce que ’’pense’’, ’’compte’’, veut ou dit cette ex 7 millionième partie d’une administration pléthorique est sans importance. Se préoccuper de la situation des employés du Privé quand on a vécu toute son existence aux crochets de la ponction fiscale (qui a visiblement bien profitée...) n’est qu’un des faux paradoxes d’un système social en plein délire. Par contre, sur le fond, organiser par décrêts (ce qui est pertinent dans une pseudo-démocratie), organiser un appareil réglementaire basé sur le postulat que ce système en plein délire (avec une balance commerciale en marasme chronique et un endettement abyssal) n’a besoin ni de la ressource générée par l’activité des employés du privé (en dernière instance la seule ressource du système quand on voit ce que paient d’impôts les sociétés qui les emploient...) , ni de leur rôle comme clients est plus qu’une abération, mais devient une insulte à l’intelligence, au simple bon sens. Il faut visiblement être un énarque pour ne pas s’en rendre compte.