Misère de l’art, misère du journalisme : Sophie Calle parle de son chat dans Le Monde
13 août 2017 05:08, par delavierL’art contemporain ce n’est pas de l’art, même si parfois il a dans la société la même fonction que l’art, c’est à dire unir et enseigner.
L’art c’est l’enseignement par le beau, le beau étant ce qui par sa forme son mouvement son harmonie et ses rythmes se rapproche de la vie et est utile à sa conservation, l’art contemporain lui, est le plus souvent par sa disharmonie, et son absence de structure en complet opposition avec ce qu’intuitivement l’homme considère comme le beau et l’artistique.
Mais même si l’art contemporain est souvent laid et disharmonieux et qu’il n’est à proprement parlé pas de l’art, il conserve parfois la fonction unificatrice de l’art.
Certains milieux affairistes par la maîtrise des medias et des cercles d’influences, peuvent par un martelage permanent de contre vérité faire croire au peuple que le laid est beau, et qu’un étron est une œuvre d’art.
Bien des gens par ce besoin d’appartenir au groupe, par ce désir mimétique de se fondre dans la pensé commune pour se sentir protégé, s’auto persuaderont que ce que leur montre les medias comme étant le beau et l’artistique reconnu par la majorité, est réellement le beau et l’artistique, même ci c’est de la merde, les poussant par cette peur du rejet à aimer ce qu’instinctivement ils n’aiment pas.
C’est ainsi qu’influencés par les médias possédant et faisant le marcher de l’art, un peuple influençable et abêtit par de la propagande, se pressera au concert ou à l’exposition à la mode pour s’unir dans l’adoration de la laideur, s’unifiant devant ce qu’inconsciemment ils rejettent pour ne pas être rejeté eux même et par la se sentir protégé par leur appartenance culturelle au groupe.
Ainsi en se pressant devant le difforme et le disharmonieux, et en payant pour s’unir devant la laideur, le peuple s’unit et se renforce dans des actions communes tout en entretenant une caste d’escrocs lui faisant passer avec un certaine humour des vessies pour des lanterne pour ne pas dire de la merde pour de l’or.