Petit bémol cependant : si la petite noblesse, puis le clergé, se sont appuyés sur la paysannerie pour tenter de sauver le catholicisme, l’étincelle qui mit le feu aux poudres - si l’on peut dire - est la "conscription" par titage au sort à l’heure ou allaient s’annoncer, pour l’été à venir sous peu, les moissons.
Les jaqueries étant en soi, les prémices de la lutte des classes contemporaines, d’une "base" contre l’élite...
L’étincelle embrasant alors tous les troncs communs pour n’en faire qu’un : qui de se dire vendéen, qui d’être croyant, qui d’être royaliste, etc...dans une même envie d’en découdre ; la Révolution "parisienne" n’ayant pas apporté son lot promis de consolation.