Saint-Martin : une répétition pour la guerre civile ?
13 septembre 2017 13:40, par Mami Wata
Je parie que cette "préfete" demain dira qu’elle est critiquée simplement parce qu’elle est une femme ; que l’univers de l’administration territoriale est dominé par les hommes. En somme que ceux qui la critiquent sont d’abord des misogynes, ensuite des sexistes, et enfin des nazis ; qu’elle vit "les heures les plus sombres" de sa carrière...