Irma, Maria et autres cyclones ne doivent rien au prétendu "réchauffement climatique"
20 septembre 2017 11:43, par goybandIl est évident que la cause anthropique dans les évènements catastrophiques récents n’est qu’une vaste plaisanterie que seuls les bobos écolos gobent la bouche ouverte et à la grande satisfaction des relais chargés (GIEC, Lepage etc…) de la propagande au service des globalistes.
Le réchauffement climatique (et la pollution) existe, certes, mais personne d’indépendant et sérieux ne peut affirmer qu’il n’est pas cyclique et qu’il serait à l’origine de tous les prétendus dérèglements responsables de catastrophes dites naturelles et encore moins que c’est l’Homme qui en serait le vecteur principal.
L’activité solaire, à commencer par ses éruptions de classe X, est plus certainement la cause des phénomènes globaux que l’on observe de très près depuis que nous avons la possibilité de le faire.
Nous en sommes au balbutiement de nos connaissances, mais on sait déjà que plus le soleil dort (tout est relatif), plus le rayonnement cosmique passe en direction de la terre en ayant des conséquences sur le comportement de la troposphère et favorisant l’arrivée de phénomènes climatiques extrêmes plutôt éloignés de l’équateur (ex fortes précipitations en France dont Paris).
A contrario, les éruptions solaires protègent la terre de ce même rayonnement cosmique et favorisent donc un comportement troposphérique plutôt catalyseur de phénomènes climatiques extrêmes près de l’équateur, dont les tempêtes cycloniques.
Il y a eu une éruption solaire de classe X le 10 septembre dernier et après une longue période d’accalmie.
De plus, il apparaît que lors des éruptions solaires, des émissions d’ondes de très basses fréquences frappent la terre avec un capacité énergétique à pénétrer le manteau, ce qui amène à penser que le magma pourrait être excité au point d’accentuer l’activité volcanique et sismique, mais sur ce dernier point, si la statistique semble démontrer une possible corrélation entre éruptions solaires et gros tremblements de terre, il y a encore du travail pour le démontrer scientifiquement et de manière formelle, la piste des effets de marées sur la terre et lors d’alignements astraux particuliers, est également à envisager et en dehors de la tectonique des plaques.
En tout état de cause, les ayatollahs du Global Heating se veulent universalistes en montrant du doigt l’Homme alors que ce dernier n’est que poussière devant la complexité et l’immensité des forces régissant l’univers, un paradoxe qui devrait être souligné plus souvent.