Donc des personnes qui vivent dans la rue, sur le triste pavé de nos égoïsmes, ou dans des maisons de retraite remplies de solitude...il y a n’a pas qu’en France...
Quant aux enseignants qui connaissent " le gout et la joie de l’effort"... c’est bien d’enseignants Égyptiens dont vous parlez...