Bonjour et merci pour votre apparente "fibre sociale".
J’ai moi même eu l’ambition de devenir moniteur éducateur en France. Bien qu’a l’époque naivement partisan du vivre ensemble,unis dans la différence et pro "mixité sociale et culturelle" (et par la même occasion pret à donner de ma personne pour la cause migratoire...). Je me suis finalement heurté à un goût du profit écœurant de la part d’un institut régional du travail social (qui etait en déficit de plusieurs milliers d’euros), qui préfère faire entrer en formation ces "jeunes putes" (pardonnez moi la vulgarité de l’expression) dont les études sont payés par papa et maman et qui iront batifoler à droite et à gauche avec ces "jeunes beurs" venu pour jouer les bandits de cité en attendant de devenir un jour les éducateurs de quartiers appréciés des mères au foyer issus pour la plupart de l’immigration maghrébine, et désirés par la nouvelles génération de jeunes assistantes sociales au cerveau rongé par la cause féministe. "Les jeunes putes " citées plus haut étant devenu pour la plupart un corps féminin rappelant la fonction maternelle dans les différentes MECS,IME IMPRO etc.... pendant que moi, jeune de quartier populaire souhaitant travailler sur l’être humain,pret à donner de mes tripes et à m’investir corps et âme dans une fonction qui m’avait fait tant rêver me voyait refoulé car j’avais été trop honnête pour dire que j’étais pret à travailler pour financer mes études, que j’avais encore quelques droits aux Assédics et que ma situation d’enfant en situation de monoparentalité ne constituer en rien un soucis financier.
J’ai dès lors fait une croix sur tout cela, découvert Égalité et réconciliation (que je tiens à remercier de tout mon cœur pour le travail qui y est accompli) et abandonner tout espoir de travail social comme il est vu actuellement par l’empire. Excuser mon récit qui peut être n’intéressera personne et qui ne profite pas d’une plume aussi belle que la votre, mais si jàk partagé cela c’est parce que lire quelqu’un comme vous aujourd’hui m’a redonner envie de croire en ce rêve qu’était d’être réellement utile aux autres durant les quelques minutes ou j’ai rédigé ces mots en attendant l’appel d’une boite intérim qui me permettra d’aller glaner quelques sous en produisant des richesses pour un état qui ne me respecte même plus ( car j’ose croire que la France chretienne m’aurait respecté). Merci pour ce moment.