Ces actrices, pour bandantes qu’elles soient et féministes pour la plupart, n’en brillent pas pour autant par leur vivacité d’esprit.
Selon les préceptes du féminisme, elles ont échappé à l’emprise du Père, cet horrible macho autoritaire, avant de s’extirper de la tutelle du Mari, qui voulait, cet égoïste, les reléguer aux fourneaux et au torchage des moutards. Non mais !
Alors, elles ont décidé de se L I B É R E R ! C’te bonne blague ! Pour tomber dans la libido d’un Wen-ch-taïn ou autre obsédé. Ou du chef de service, ainsi que je l’ai remarqué maintes fois. Tous s’étonnaient du turn-over phénoménal, chez le personnel féminin. Usagé, jeté !
Ah on peut dire qu’elles ont fait une affaire, ces fées ministes libérées !