L’affaire Weinstein relance le débat sur l’addiction sexuelle
16 octobre 2017 21:52, par H. K. DaghlianFranchement, je doute sincèrement qu’il soit de mauvaise intentions. Comprendre : le rapports des bouddhistes au sexe (entre viol, inceste, et autres tares) est totalement différent des autres communautés, voire des fois, totalement incompréhensible. C’est son logiciel qui est complétement pété et je suis sûr qu’au fond de lui, il est convaincu qu’il n’a rien fait de mal. (Ce qui n’enlève en rien la nature abjecte de l’individu et des actes).
Pour ce qui est des « victimes », je n’ai qu’une seule question : où étaient toutes ces putes (de luxe, mais des putes) quand il s’agissait de booster sa carrière en allant sous le bureau ou sur le canapé ? Quand ça les servait, elles ne se privaient pas mais une fois le bateau pris dans les rochers, elles tirent dessus à boulets rouges et font semblant d’être des victimes réduites au silence, comme si elles étaient l’incarnation de la vierge marie par leur conduite morale irréprochable. Aucune d’entre-elles ne pourrait feindre ignorer la nature du milieu du cinéma : dés l’entrée on te fait un état des lieux et ce n’est qu’une question d’un court temps avant de te forcer à choisir : tu joue le jeu ou tu te casses. Venir faire la « choquée » des années après les faits est simplement de la pure hypocrisie.
Ça me rappelle Pamela Anderson qui utilisait sa « mastercard » quand elle avait de la valeur, pour régler tous ses problèmes financiers, et maintenant qu’il ne s’agit plus que d’une vieille sorcière usée - dont ne voudrait même pas un détenu sorti de 25 ans de taule, elle traite tous les hommes de loosers. Sal*pe va.
Quant à ce Harvey, il s’est pris les pieds dans la bite comme dirait le président, et son passé l’a rattrapé : tu assumes ton passé et tu la fermes.